Le mal, existe il?

le mal ne peut exister dans le monde que dans la race humaine!docn on peut poser la question esque l'homme est bon ou mauvais?!ce qu'a dit walid est tres interessant mais il y'a quelque points assez pas claire par exemple quand tu dis que l'etre humain est doté d'un cervau qui est logique donc si on tien compte qu'a ça on est bon!ben non certe la logique nous pousse a faire le bon choix !mais le bon choix paraport a nos intéret ce qui n'est pas forcement bien surtout si on se base sur" la fin justifie les moyens"et c'est pour ça qu'on a une conscience qui est plutot l'opposée de l'esprit mal vaillant sui remet en question nos actes ... tous cela est en effet assez compliqué..... mais ce que j'en conclue est que l'etre humain sans croyance est plus poussé a faire du mal que du bien pour servir son interet .donc dieu a crée l'homme avce une conscience qui le dérange en cas ou il fais du mal et un esprit qui le pousse a faire du mal....

kan tu etai ptite et ke tu es tomber en courant ta pas eu mal ??? bizzare alors

moi personnelemnt je dirai bien k le mal n'aurait guerre une existence si l'homme bien sur ne l'aurait po crée et comma disait adam a éve:« Tu pourras manger de tous les arbres du jardin, mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras "dc le mal a une existence et dailleur ss trop argumenter:
est ce qu'on s'est réellement poser cette question la:"est cequ'on a dejas blessé klk'1"etje dirai surement k wé dc le mal existe et il fait partit de notre vie,de nos sentiment,et de nos reactions

bonne demonstration elena

bonne!!! Tu la gouté ou koi ??

chui le mal en personne!!

wé il l'a gouté au sens figuré

t es jalouse metalspirit heinn ???,

je remerci dante et walid elena aussi pour leurs ecrits cependant:

Le propr du mal tien en ceci qu'il ne peut être nomé, pensé, vécu qu'en relation avec une certaine idée du bien.
Qu'il n'y ait pas de bien en soi, que ce que les homme apelent le bien soit relatif aux situations et aux cultures si nous voulons rejoindre l'illustration de mr einstein qui a eté citer par walid, et le mal s trouve radicalement relativisé, lui qui du coup peut etre le bien d'hier, de demain ou d'ailleur.
Qu'il y ait un absolu du bien, 1 « souverain bien » comme l'affirmaient les sages antiques, ou un « unique necessaire » comme disent les religions du salut comme l'islam, et le mal, sous la forme de la foli ou de la perdition, se trouve encore cerné et délimité, au moins sur l'une de ses frontières, comme le contraire de ce bien, tout en gardant quelque chose d'obscur et d'indéfini, semblable - la métaphore est classique - à la part d'ombre dans un monde que la lumièr ne saurait visiter.
nous pouvons oci définir Le mal, contraire du bien, car si le mal n'est jamais tel que par rapport à un bi1 au moins possible et représentable, le bien paraît avoir une positivité propr ki lui permettré, kel ke soit sa figure, de se poser dans toute l'innocence de son ignorance du mal.
L'idée du mal, qui doit avoir quelque realite, puiske abondent et surabondent de tout temps et en tout lieu les discours sur le mal, est donc dialectique et interrogative : dialectique:et je rejoins l'idée de dante, puisqu'elle n'est pensable que par un entrecroisement de négations, c'est-à-dire par reference à la norme ou à la valeur que le mal ni existentielment, lesquels à leur tour le nient rationnellement ou idéalement ; interrogative:car le mal, ne pouvant être appréhendé que comme contestation scandaleusement heureuse du bi1, pose par l'équivoque meme de sa nature le problème de son origine et de sa signification.
Le mal, en effet, ne saurait se montrer ss être aussitôt dialectiquement mis en question, et, de plus, il n'y a du mal dans le monde et dans l'histoire que parce qu'il existe pour l'homme un problème du mal.
  2 assurances, qui fon antinomie(cet a dire sorte de contradiction), commandent et animent toute réflexion sur le mal : d'une part, si le mal ne suscité la question : pourquoi le mal ? il ne serait pas le mal ; d'autre par, si la réponse à la kestion : pourquoi ? alé de soi dans une évidence naturelle, le mal disparaîté en même temps que serait effacée l'angoisse de la question. Si l'on appelle ideologie toute retombé, utilisabl sociologikement ou psychologikement, de la pensée philosophique, la réflexion sur le mal ora pour premier devoir de recusé un certain nombre de fatalité idéologique, tel les rhétoriques, conjoncturellement et culturelement necessaire, de l'optimisme ou du pessimism.
et religieusement parlant, il s'agira en fin de compte non pas de comparé les unes aux otres, en faisant le bilan de leurs inconvénientt ou de leurs avantages, tel et tel solutions du problèm, mais plus radicalement de se demander si la problématique du mal, engendré par une dialectique destructrice d'elle-même, ne seré pas un faux problème, contrain ainsi à avouer son caractère idéologique. Mais l'interrogation sur le problème laisse intacte l'alternative et la kestion du choix perssiste;
il se pourré ke, meme si toute solution au problème du mal relevé d'une idéologie, le problème lui-même doive se formulé avec une rigueur universel, invincible à toute réduction idéologique.
Ce problème du mal - obsession à psykanalyser ou interrogation authentique -, l'homme se l'est posé à travers tous ses modes de pensée, mithiques, philosophikes, religieux et juska present le debat reste ouvert ,sur cette question qui ma tjrs faciné:le mal est il present en nous aussi bien que le bien l'est ou c le contraire?
saccardiliano

666ms a écrit:

t es jalouse metalspirit heinn ???,

ahhhhhhh mais ya pa de koi l etre

j t averti lol ...

la c'est une ùenace c'est sur

tout ca a cause de toi elena lol

ah bon et qu'est ce que j'ai fait chwi innocente moi

éléna18 a écrit:

la c'est une menace c'est sur

es tu sure de ce que t'avance ?

pourtant j'ai pas encore reçu d'MP de ça part

le mal...c pas bien

nn c biennn